Le manoir se dressait, soumettant, en plein milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les chemins envahies par les ronces, une constitution de cristal et métallisé résistait encore au années : une serre oubliée, dissimulée postérieur un mur de végétation sauvage. Julien, https://jasperjyjsa.bloggerchest.com/33692395/le-jardin-des-obscurcissements-statiques