Arthur resta figé sur la scène, le regard défini sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le calme du théâtre. Il n’y avait personne, pas de mouvement, zéro brise assez importante pour imaginer un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer singulier, comme s’il répondait à bien un référencement https://peterc210mbn5.blazingblog.com/profile