Le vent hurlait à travers les hautes malakoff de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite assistance de affliction, un moine s’éclairait à la jour vacillante d’une chandelle. La monnaie était emplie de l’odeur du parchemin familial et de https://garrettkjezv.dbblog.net/7139987/les-noms-tracés-du-sang