Le vent hurlait via les hautes douai de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite auditeur de match, un moine s’éclairait à la illumination vacillante d’une chandelle. La capital était emplie de l’odeur du parchemin traditionnel et de l’encre https://remingtonrnhbu.blogcudinti.com/33925502/les-noms-tracés-dans-le-sang