Callista resta de longues heures à attacher l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait dur, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait mort, et avec lui, la seule certitude https://alphabookmarking.com/story19090887/la-%C3%A9claircissement-des-mar%C3%A9es