La gare était plongée dans une brume dense, un voilage épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un lien indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait définitif, optant pour l’immense appareil d’acier triste qui sifflait mollement, prête https://voyancegratuiteenlignetar90987.izrablog.com/34402244/le-train-sans-retour