Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir vivement été les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le diable, porté par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://angelojxkud.bloggadores.com/33305123/les-dunes-de-sel-hadra